Introduction Ce travail porte sur la digitalisation du sport et plus précisément sur les tendances de la réalité virtuelle pour le Centre Sportif National de la Jeunesse de Tenero (CST). Lors de cette recherche il faut analyser les bases et les outils de la digitalisation du sport, surtout de la réalité virtuelle, domaine de recherche composé d’une multitude d’outils. De l’analyse littéraire, il a fallu développer sur certains outils tel que la robotique ou l’intelligence artificielle pour terminer avec la réalité virtuelle qui est la pierre angulaire du sujet. Méthode La recherche de données qualitatives a été effectuée avec six interviews de six personnes venant de différents domaines du sport. Ils ont répondu aux cinq mêmes questions concernant l’attractivité, l’importance, les tendances et les projets de la réalité virtuelle. Pour ce travail, la méthode de Philipe Mayring qui consiste en une analyse qualitative basée sur des interviews et une recherche littéraire a été utilisée. Résultats Attractivité de la réalité virtuelle : La réalité virtuelle peut être un élément qui rend un centre plus attractif pour ses clientes et clients et ses visiteurs. Importance de la réalité virtuelle : C’est un outil important dans la digitalisation qui doit avoir un effet bénéfique sur la performance sportive et doit aussi être assimilé à d’autres outils de la digitalisation du sport. Tendances : Différentes tendances ont émergé des interviews telles que la mise en situation avec des lunettes 3D pour travailler des exercices spécifiques (par exemple un gardien de but de hockey sur glace a des exercices de réflex et de placement). Mais encore des salles de réalité virtuelle pour des exercices tels que des passes ou des prises de décisions. De plus des applications en ligne pour des courses et des fungames pour l’attractivité et le divertissement. Projets : Il a été difficile de trouver un projet concret qui peut être mis en place au Centre Sportif National de la Jeunesse de Tenero (CST). Discussion et conclusion Il existe beaucoup de tendances de la réalité virtuelle. Les différentes tendances citées dans ce travail sont possibles à mettre en place pour le Centre Sportif de la Jeunesse de Tenero (CST). L’attractivité et l’importance de la réalité virtuelle montrent qu’elles ont leur place dans des centres sportifs. La technologie ne cesse de croître et n’est qu’au prémisses de la digitalisation sportive, c’est pourquoi les informations à ce sujet sont encore lacunaires. Cependant, ce travail permet de voir ce qu’il se développe sur le marché et de prendre conscience que le Centre Sportif National de la Jeunesse de Tenero (CST) peut mettre en place ce type de tendances au sein de leur centre.
Le sport et l’économie se sont considérablement développés ces dernières années au niveau mondial. La société helvétique n’échappe pas à cette évolution. Les clubs professionnels doivent trouver des moyens financiers pour se développer et perdurer. Dans ce contexte, l’affluence aux évènements sportifs est un enjeu de taille pour les clubs professionnels afin d’augmenter leurs revenus. Les clubs de basketball, à l’image du Fribourg Olympic Basket (FOB), s’inscrivent parfaitement dans ce défi. L’objectif de ce travail est de répondre à l’enjeu de la problématique de l’affluence aux évènements sportifs en proposant des recommandations tirées de la littérature et d’entretiens pour des clubs de l’envergure du FOB. La connaissance des facteurs, impacts, limites et stratégies possibles sont nécessaires pour formuler des recommandations afin d’augmenter l’affluence. Ce travail de recherche empirique faisait appel à la collecte, l’évaluation et l’interprétation de données qualitatives et quantitatives. Ces données récoltées et analysées ont permis de traiter cette problématique liée à l’affluence aux évènements sportifs pour des clubs de petite envergure. Les principaux facteurs influençant le nombre de spectatrices et spectateurs étaient les résultats sportifs, l’identification, l’affiche du match, l’enjeux ainsi que le jour et la période de la saison. La visibilité et l’augmentation des revenus financiers sont des impacts non négligeables de l’augmentation de l’affluence. L’absence de culture du basket, le manque de ressources humaines et financières ainsi que le manque de temps, de professionnalisme et d’infrastructures étaient les principales limites identifiées. Les stratégies passées énoncées se composaient de la promotion du basket en Suisse, d’une commission marketing, d’une offre d’abonnements à demi-prix, d’invitations ciblées, d’une professionnalisation de la discipline et d’une large gamme de produits. L’implantation d’une équipe en suisse alémanique, la création d’un fan club, la fidélisation des clients et l’orientation vers un nouveau public cible faisaient partie des recommandations évoquées tout comme l’amélioration des infrastructures, la diffusion télévisée, la distribution d’invitations, la combinaison entre la restauration et le match. Les revenus et l’affluence varient selon la saison, l’adversaire et la date du match. Les facteurs se différencient par un degré d’importance divergent selon l’envergure du club, son environnement et sa structure. L’augmentation de l’affluence aux évènements sportifs a des impacts colossaux pour le club et pour la discipline sportive. La mise en place de nouvelles stratégies rencontre certaines limites qui sont liées au club, à son environnement mais également à la discipline sportive. Les stratégies pour attirer du public sont multiples mais ne sont pas toutes applicables et destinées à des clubs de petite envergure. Le défi est de formuler, à l’échelle du Fribourg Olympic Basket, des recommandations susceptibles de répondre à cette problématique. Une offre d’un billet pour deux matchs, une étude de terrain et une délocalisation d’un match sont trois recommandations développées afin d’augmenter le nombre de spectatrices et spectateurs aux évènements sportifs. Les recommandations formulées tentent de répondre à la problématique et sont de potentielles clés de réussite. La mise en pratique de ces dernières représente une prochaine étape de ce travail.
Einleitung Das Monitoring zur Überwachung der Trainingsbelastung und des Befindens desAthleten (Erholungs-Beanspruchungs-Zustand) kann im (Spitzen-) Sport am effizientesten perFragebogen durchgeführt werden (Saw, Main, & Gastin, 2016). Mit dieser Arbeit wird versucht,das mehrdimensionale Verfahren des psychometrischen Fragebogens (EBF-Sport-Kurz)mit den gewonnenen Erkenntnissen der Erholung und Beanspruchung professioneller Eishockeyspieler zu evaluieren. Zum einen wird untersucht, ob die subjektiven Daten als Prädiktor von Verletzungen dienen und zum anderen wird der Einfluss der Time On Ice (TOI) auf das psycho-physische Befinden evaluiert. Methode 35 Eishockeyspieler des EHC Olten (Alter: 27.7 ± 4.96 Jahre, Körpergrösse: 182 ±5.29 cm, Körpergewicht: 83.42 ± 6.76 kg) der Saison 2017/2018 füllten während der gesamtenMeisterschaftsphase, alle zwei bis drei Tage den psychometrischen Fragebogen (EBF-Sport-Kurz) zur Überprüfung des Erholungs- und Beanspruchungszustands aus. Ein t-Test für abhängige Variablen sollte anhand der erhobenen Daten aus dem EBF, während einer definierten Phase unmittelbar vor einer Verletzung und einer randomisierten Phase im verletzungsfreien Zustand aufzeigen, ob und wie gross sich diese Gruppen unterscheiden. Weiter wurde eine Korrelationsanalyse nach Bravais-Pearson durchgeführt, um die Time On Ice sowie die EBF-Werte der Physis, Psyche und der Gesamt-Bilanz zu vergleichen. Resultate Der erste EBF-Wert der Beanspruchung in der Vor-Verletzungsphase (M = 293.65, SD = 16.70) ist signifikant höher (t = 2.39, p < .05) als der erste Wert einer randomisierten Phase im gesunden Zustand (M = 286.35, SD = 16.40). Spieler-11 (r = .58, p < .01, N = 36) weist eine hoch signifikante Korrelation zwischen der TOI und der psychischen EBF-Bilanz auf. Während bei Spieler-14 (r = .5, N = 20) und 21 (r = .39, N = 31) eine hohe TOI mit einer hohen psychischen Bilanz signifikant korreliert, liegen bei Spieler-22 (r = -.52, N = 16) und 24 (r = -.31, N = 45) mit einem p-Wert < .05 signifikant negative Korrelationen vor. Diskussion und Konklusion Die Erholungswerte der Athleten sind in der Vor-Verletzungsphase tiefer als in einer randomisierten Phase im verletzungsfreien Zustand. Man kann annehmen, dass die Athleten ab ca. zwei Wochen vor einer Verletzung, eine schlechtere Erholung empfinden als während einer Phase im gesunden Zustand. Die Ergebnisse sind jedoch nicht signifikant. Der EBF-Sport-Kurz sagt nicht aus, ob eine hohe TOI zu einem besseren Wohlbefindenführt. Einzig nach gewonnenen Spielen werden tendenziell höhere Werte der psychischenBilanz angegeben. Eine hohe TOI hat nicht prinzipiell einen niedrigen physischen Wertoder einen hohen psychischen Wert zur Folge, wie man annehmen könnte. In der Einzelanalyse der Spieler sind einige signifikante Ergebnisse zu betrachten, die einen kausalen Zusammenhang des psycho-physischen Befindens und der Time On Ice aufweisen. Der EBF-Sport-Kurz ist im Allgemeinen ein geeignetes Ergänzungstool im Monitoring des Erholungs-Belastungs-Zustands von Athleten und kann effizient eingesetzt werden.
EinleitungGestörte Unterrichtseinheiten stellen eine akute Problematik für jegliche Schulformen dar. Siereduzieren sich nicht nur auf «spezielle» Klassen in Institutionen wie z.B. Sonderschulen,sondern sind weitgehend in Schulen anzutreffen. Fähigkeiten zur Bewältigung vonUnterrichtsstörungen werden immer dringlicher benötigt. Oft heisst bewältigen zuerstverstehen. Natürlich lassen sich Anweisungen zur Prävention von Störungen im Unterricht inder Literatur finden. Wichtiger erscheinen mir Kenntnisse darüber, was Störungen sind, derenCharaktereigenschaften und Ursachenzuschreibung, wer oder was diese hervorrufen kann und wie häufig Störungen auftreten. Des Weiteren ist es essentiell zu wissen, wie der Unterricht zusammengesetzt ist und was darin abläuft. Mit dieser Arbeit befasse ich mich sowohl mit der theoretischen wie auch der praktischen Komponente. Ziel und konkrete FragestellungZiel der Arbeit ist es herauszufinden, welche Störungen im Sportunterricht auftreten könnenund ob es Unterschiede zwischen zwei Oberstufenklassen gibt. Es stellen sich also die Fragen:Welche Störungen treten im Sportunterricht auf?Welche Unterschiede gibt es zwischen einer 1. und 3. Oberstufenklasse?Wie lassen sich diese Störungen klassifizieren? MethodeUm die Fragestellung beantworten zu können, wurde im Vorhinein der wissenschaftlicheHintergrund erforscht, das wichtigste zusammengefasst und dokumentiert. Um herauszufinden, wie es in der Praxis aussieht, wurde eine 1. und eine 3. Oberstufenklasse beobachtet. Zudem wurde ein Interview mit dem verantwortlichen Sportlehrer beider Klassen gemacht. Anhand eines Beobachtungsbogen konnten die in Erscheinung tretenden Störungen erkannt und erfasst werden. Eine vereinfachte Grafik zur Einordnung von Störungen half die Rohdaten in das Programm Excel zu transferieren und auszuwerten. ResultateDie Analyse der Klassen ermöglichte es herauszufinden welche Störungen im Sportunterrichtauftreten und einen Vergleich zwischen der 1. und 3. Oberstufenklasse zu ziehen. Dabei kamzum Vorschein, dass sowohl personenbezogene wie auch themenbezogene Störungen auftreten. Der Unterricht kann sowohl durch die Schüler*innen wie auch durch die Lehrperson gestört werden. Störungen durch Schüler*innen kommen in Formen wie aggressiv direkte, aggressiv indirekte und nicht aggressive aktive, nicht aggressiv passive vor. Die Störungen durch die Lehrperson belassen sich auf Erscheinungsformen wie der Umgang mit Schüler*innen oder Störungen sowie der Erhalt des Überblicks auf die Klassen und Regeln. Dabei kommen häufiger Störungen durch Schüler*innen auf, als durch die Lehrperson. Am häufigsten sind nicht aggressive aktive Störungen aus Seite der Schüler*innen anzutreffen, bei der Lehrperson ist der Umgang mit Schüler*innen der häufigste Störfaktor. Zusätzlich war zu erkennen, dass der Unterricht der 3. Oberstufenklasse allgemein öfters gestört wurde. Diskussion und KonklusionMit den Resultaten aus der Literaturrecherche, dem Interview und der Beobachtungsanalysekonnten die Fragestellungen beantwortet werden. Beim Vergleich der beiden Klassen konnten sowohl Unterschiede und Gemeinsamkeiten festgestellt werden. Trotz dem deutlichen Zusammenhang zwischen Theorie und Praxis blieben doch einige Fragen ungeklärt, welche in diesen Kapiteln aufgegriffen werden.
Um am Wettkampftag seine Bestleistung unter Beweiszustellen, hat mentale Stärke imLeistungssport eine grosse Bedeutung. Forschungsergebnisse zeigen, dass Angst dieLeistungskapazität einschränkt (Hanin, 2000). Wissenschaftler sind sich jedoch nicht einig, obmit dem Einsatz von Mentaltraining die Wettkampfangst verkleinert werden kann. In dieser Arbeit werden die Themen Wettkampfangst und der Einfluss von mentalem Trainingbehandelt. Es wird untersucht, inwiefern diese Variablen zusammenhängen. Dazu werdenLeichtathletinnen und Leichtathleten im Alter zwischen 14 und 18 Jahren mittels Fragebogenbefragt. Ein auf die Stichprobe zugeschnittener Fragebogen, welcher aus den standardisiertenFragebögen WAI-T und TOPS-D bestand, wurde den Teilnehmenden zugestellt. Teilnehmenkonnten alle, die zwischen 14 und 18 Jahren alt sind und aktiv in einem Leichtathletikvereintrainieren. Die Rekrutierung zeigte sich als schwierig und es konnten nur Wenige zur Teilnahme motiviert werden. Es ergab sich eine gültige Probandenanzahl von N=10. Die wichtigsten statistischen Erkenntnisse dieser Arbeit sind, dass Wettkampfangst existiertund dass vor allem junge Mädchen darunter leiden (p
Einleitung Menschen mit Beeinträchtigung sind im organisierten Sport deutlich unterrepräsentiert (Verdonschot, de Witte, Reichrath, Buntinx & Curfs, 2009). Um der UN-Behindertenrechtskonvention gerecht zu werden, ist es das Ziel, eine gleichberechtigte Teilnahme der betroffenen Menschen an Sportaktivitäten auf allen Ebenen zu erreichen (Eidgenössisches Departement des Innern, 2014), das heisst auch bei der Weiterbildung zum Leitenden. Ziel und konkrete Fragestellung Das Ziel dieser Arbeit ist es, aufzuzeigen, wie erreicht werden kann, dass Personen mit Beeinträchtigung sich im Sport weiterbilden. Es wird ein Fall analysiert, bei dem ein Teilnehmer mit Beeinträchtigung eine Ausbildung zum Hilfsleiter absolvierte. Dazu wird die folgende Forschungsfrage gestellt: Welche Voraussetzungen braucht es für eine Person mit Beeinträchtigung, um im Vereinssport vom konsumierenden Teilnehmenden zum gestaltenden Hilfsleitenden oder Leitenden zu wechseln? Methode Der Proband wurde durch die Auswahlkriterien Behinderungsbild, Mitgliedschaft in einem Sportverein und Leiter- oder Hilfsleiterausbildung ausgesucht. Der Proband ist ein 17-jähriger Jugendlicher, welcher eine schwergradige Sehbehinderung hat. Er ist Mitglied in einem Bergsportverein und hat die Ausbildung zum Hilfsleiter abgeschlossen. Es wurde der Weg des Probanden vom Teilnehmer zum Leiter aus der Perspektive des Probanden, seiner Eltern und einer Person aus dem Verein betrachtet. Für die Gespräche wurden teilstandardisierte Interview-Leitfäden ausgearbeitet. Die Interviews wurden codiert. Resultate Obwohl der Proband im Alltag nur auf wenig Hilfe angewiesen sei, brauche er im Sport vermehrt Unterstützung von seinem Umfeld. Über den Verein wurde gesagt, es sei seine Kultur, dass auch Menschen teilnehmen könnten, die ein wenig ‘anders’ seien. In Bezug auf den Zugang zum Verein wurde erwähnt, dass der Verantwortliche des Vereins den Probanden angesprochen habe. Bei der Trainingsgestaltung müsse nichts spezifisch für den Probanden angepasst werden. Die Eltern und der Proband erwähnten, dass es im Verein eine Bezugsperson gäbe, welche den Probanden motiviere, an Aktivitäten teilzunehmen. Die Idee zur 1418-Ausbildung war vom Probanden gekommen, der von der Ausbildung durch seine Freunde im Verein erfahren hatte. Es wurde von allen angesprochen, dass bei den Eltern und dem Probanden diesbezüglich Unsicherheiten bestanden. Diskussion Die Unterstützung des Umfelds spielte eine grosse Rolle. Die Stimmung im Verein stellte einen weiteren Punkt dar; es wurden alle Teilnehmenden, auch diejenigen mit Beeinträchtigung, als ‘normal’ betrachtet. Ausserdem wurde im Verein die Teilnahme an Weiterbildungen allgemein sehr gefördert. Am häufigsten erwähnt wurde in den drei Interviews die Wichtigkeit der Bezugsperson. Diese wirkte Unsicherheiten oft mit Optimismus entgegen und schuf dadurch viele Möglichkeiten für den Probanden. Konklusion Das Umfeld unterstützte den Probanden bei sportlichen Aktivitäten und schaffte dem Probanden dadurch viele Möglichkeiten des Sporttreibens. Auch im Verein traf der Proband auf eine sehr förderliche Umgebung. Der Verein lebt eine Kultur der Offenheit. Dadurch, dass der Trainer den Probanden aktiv angesprochen hatte und bei den Vereinsaktivitäten meist präsent war, erhielt der Proband eine Bezugsperson. Diese animierte den Probanden, an verschiedenen Aktivitäten teilzunehmen. Die Dynamik, welche im Verein bezüglich Weiterbildung herrscht, brachte den Probanden dazu, sich über eine Teilnahme zu informieren. Er wie auch die Eltern vertrauten unter anderem dabei auf die Einschätzung der Bezugsperson. Diese zeigte sich bei Unsicherheiten optimistisch. Das Zusammenspiel all dieser Punkte führte im Fall des Probanden zu einer Weiterbildung und auch zu einer gleichberechtigten und gleichwertigen Teilhabe im Verein. Die daraus gewonnenen Erkenntnisse wurden auf einem Merkblatt für Vereine zusammengefasst und enthalten die folgenden hilfreichen Voraussetzungen: - Hemmschwellen beseitigen > Informieren - Stimmung / Einstellung im Verein > Offenheit leben - Weiterbildung fördern > Dynamik erschaffen - Bezugsperson >Eine Gotte / ein Götti - Umgang mit Unsicherheiten > Optimistisch sein
Einleitung Störungen gehören zum Unterricht dazu und störungsfreier Unterricht existiert praktisch nicht. Aus diesem Grund ist es für Lehrpersonen wichtig zu wissen, welche Arten von Störungen es gibt, wie Störungen entstehen können und noch wichtiger, wie eine Störungsintervention erfolgen kann. Die Literatur bietet bereits eine Vielzahl an Erklärungen wie Störungen entstehen und etliche Modelle und Strategien, wann und wie eine Störungsintervention erfolgen kann. Leider befasst sich nur ein kleiner Teil dieser Literatur mit Störungen und der Intervention im Sportunterricht oder im Vereinstraining. Diese Arbeit soll dazu beitragen, diese Wissenslücke zu füllen. Ziel und konkrete Fragestellung In dieser Arbeit werden Störungen im Judovereinstraining und die darauffolgende Störungsintervention der Leiter aufgezeigt. Methoden Um die Fragestellung zu beantworten, wurde das Kindertraining eines Judovereins besucht und davon Videoaufnahmen erstellt. Insgesamt wurden drei Trainings von je 75 Minuten aufgezeichnet. Das Alter der Teilnehmenden betrug zwischen sieben und 12 Jahren, die Gruppengrösse variierte zwischen 14 und 17 Teilnehmenden und das Training wurde von zwei ausgebildeten Jugend und Sport Leitern geführt. Basierend auf der studierten Literatur wurde ein Störungsdiagramm erstellt, welches die Störungen in Kategorien einteilte. Mithilfe dieses Diagramms wurden die Videoaufnahmen analysiert und die erkannten Störungen den Kategorien zugewiesen. Für die Einteilung der Störungsinterventionen wurde, ebenfalls basierend auf der studierten Literatur, ein Interventionsdiagramm erstellt. Mit diesen Diagrammen konnten die Videoaufnahmen analysiert und alle Störungsinterventionen in Kategorien eingeteilt werden. Resultate Durch die Auswertung der Videoanalyse konnten insgesamt 288 Störungen festgestellt werden. Die Leiter waren für 4.9 % und die Teilnehmenden für 95.1 % der Störungen verantwortlich. Bei den Leitern konnten nur in drei der sieben Kategorien Störungen festgestellt werden. Die Kategorie «Inhalt des Unterrichts» war diejenige mit den meisten Störungen durch die Leiter. Bei den Störungen durch die Teilnehmenden konnte 99.3 % der Störungen der Kategorie «Nicht aggressive Störungen» zugeordnet werden. Während den drei Trainings fanden insgesamt 99 Störungsinterventionen durch die Leiter statt. Bis auf die Kategorie «Gemeinsame Bewältigung mit den Teilnehmenden» konnten Interventionen in allen Kategorien festgestellt werden. Mit 66.7 % erfolgten jedoch die meisten Interventionen in den Kategorien «Präsenz verstärken verbal» und «Präsenz verstärken nonverbal». Diskussion Anhand der Daten lässt sich feststellen, dass Störungen sowohl durch die Leiter wie auch durch die Teilnehmenden verursacht wurden. Jedoch kamen häufiger Störungen durch die Teilnehmenden vor, als Störungen durch die Leiter. Die Auswertung hat gezeigt, dass bis auf die Interventionskategorie «Gemeinsame Bewältigung mit den Teilnehmenden», alle Kategorien durch die Leiter angewendet wurden. Die am meisten angewendeten Interventionen waren «Präsenz verstärken verbal» und «Präsenz verstärken nonverbal». Aufgrund dieser Ergebnisse sollten Leiter zukünftig ihr Denken und Handeln betreffend Störungen und Störungsintervention reflektieren und entsprechend anpassen. Konklusion Bei den Leitern konnten die Störungen «Umgang mit Störungen», «Überblick» und «Inhalt des Unterrichts» und bei den Teilnehmenden, ausser der «Aggressiven Störung indirekt», alle Störungen festgestellt werden. Bei der Intervention von Störungen wurden durch die Leiter, ausser der Kategorie «Gemeinsame Bewältigung mit den Teilnehmenden», alle Interventionskategorien angewendet.
Die Forschung rund um das Thema Beweglichkeit und deren Methoden entwickelte sich in den letzten Jahren stetig und brachte neue Erkenntnisse. Dabei werden Kinder meist ausser Acht gelassen. Mehrere Autoren sind sich einig, dass die Dehnmethode Contract Relax – Agonist Contract (CR-AC) zu bevorzugen ist, um die Beweglichkeit zu verbessern (Klee, 2003; Gärtner, 2015; Freiwald, 2020). In der vorliegenden Arbeit wird untersucht, ob dies auf das Kindesalter zu übertragen ist. Die konkrete Fragestellung lautet: Zeigt sich ein Unterschied in der statischen-passiven Beweglichkeit der hinteren Muskelkette zwischen der «Statische-Passiven Dehnmethode» und der «CR-AC Dehnmethode» nach einer achtwöchigen Intervention bei Kindern? Über einen Zeitraum von acht Wochen führten 21 Kinder, im Alter von neun bis dreizehn Jahren aus dem Skiclub Davos, dreimal pro Woche eine Dehneinheit von 15 Minuten durch. Die Teilnehmenden wurden in zwei Gruppen eingeteilt. Eine Gruppe dehnte nach der «Statischen Dehnmethode» und eine nach der «CR-AC Dehnmethode». Als Untersuchungsgegenstand diente die Beweglichkeit der hinteren Muskelkette. Als Instrument für die Testung wurde der «Sit and Reach-Test» (Wells & Dillon, 1953) gewählt. Dieser wurde zu Beginn (Pre-Test) sowie am Ende (Post-Test) der Intervention durchgeführt. Beide Dehnmethoden verbesserten die Beweglichkeit. Wird die Differenz der Mittelwerte aus Pre- und Post-Test der Teilnehmer mit über 20 Dehneinheiten verglichen, ergibt sich eine Abweichung von 0.32 cm zu Gunsten der Gruppe, welche nach der Statischen Dehnmethode gedehnt haben. Es wird davon ausgegangen, dass um die Beweglichkeit bei Kindern zu verbessern, beide Dehnmethoden gleichzustellen sind. Mit Bezug zu der Literatur (Marschall, 2011) wird die «CR-AC Dehnmethode» nach korrekter Einführung und beaufsichtigter Dehneinheit jedoch favorisiert. Möchte man Kinder im Bereich der Beweglichkeit optimal ausbilden, muss der Aspekt der Kräftigung und Stabilisierung miteinbezogen werden. Um weitere Aussagen über die Beweglichkeit im Kindesalter zu tätigen, sollten weitere Studien durchgeführt werden.
Einleitung Keine Lehrperson und keine Unterrichtslektion ist von Störungen verschont, daher ist es für Lehrpersonen wichtig, im Bereich Unterrichtstörungen ein Grundwissen zu haben. Es gibt in diesem Bereich ein breites Band an Literatur welche zum Beispiel beschreibt, welche Störungen auftreten können, wie man richtig darauf reagiert oder was die Gründe für Störungen sind. Mit dieser Arbeit möchte ich herausfinden, welche Störungen in der Primarschule und der Kantonsschule am häufigsten Vorkommen und wie sich diese in den beiden Altersstufen unterscheiden. Ziel und konkrete Fragestellung Ziel der Arbeit ist es, herauszufinden welche Störungen im Sportunterricht am häufigsten vorkommen, dabei werden Kantonsschule und Primarschule separat betrachtet. Zusätzlich werden die Daten miteinander verglichen, um so Unterschiede der beiden Altersstufen feststellen zu können. Es wurden dabei folgende Fragestellungen definiert. Welche Störungen kommen im Sportunterricht am häufigsten vor? Unterscheiden sich die Unterrichtsstörungen im Vergleich zwischen der Primarschule und der Kantonsschule? Methode Um die Fragestellung beantworten zu können, wurde bei einer Kantonsschulklasse, sowie bei einer Primarschulklasse der Sportunterricht besucht. Die jeweilige Doppellektionen wurden dabei mit einer Kamera gefilmt. Auf Basis der Literatur wurde eine Grafik (siehe Abbildung 3) zur Einteilung der Störungen gemacht. Durch die Auswertung der Videosequenzen konnten die Störungen in die Grafik eingeteilt werden. Dadurch wurde ersichtlich, bei welcher Stufe, welche Störungen am häufigsten vorkommen. Diese konnten danach miteinander verglichen werden. Zusätzlich wurden den Lehrpersonen einige Fragen gestellt, um die Untersuchungen zu präzisieren. Hauptteil Um einen Überblick über Störungen zu erhalten, wird im Kapitel 3 der Begriff Störung, die Ursachen und die Unterteilung dieser beschrieben. Darauf aufgebaut wurde die Grafik zur Einteilung der Störungen erstellt. Die Beschreibungen helfen, die Grafik zu verstehen und die Einteilung der Störungen nachvollziehen zu können. Resultate Die Unterrichtsstörungen wurden mit Hilfe einer Grafik eingeteilt. Bei der Primarschule wurden 93 Prozent der Störungen, als Störungen durch Schülerinnen und Schüler gewertet. Von den Störungen durch Schüler/innen waren 69 Prozent nicht aggressiv aktive, 15 Prozent nicht aggressiv passive und 16 Prozent aggressiv direkte Störungen. Aggressiv indirekte Störungen konnten keine festgestellt werden. Bei der Kantonsschule hatten die Störungen durch die Lehrperson einen Anteil von 12 Prozent. Bei den 88 Prozent durch die Schüler/innen waren 57 Prozent nicht aggressiv passive und 43 Prozent nicht aggressiv aktive Störungen. Aggressive Störungen kamen bei der Kantonsschule keine vor. Diskussion und Konklusion Die Fragestellungen konnten anhand der Resultate beantwortet werden. Es wurde festgestellt, dass gesamthaft die nicht aggressive Störung am häufigsten vorkam. Vor allem in der Primarschule waren diese Störungen mit 69 Prozent sehr häufig. In der Kantonsschule wurde, die nicht aggressiv passive Störung mit 57 Prozent am meisten beobachtet, es waren aber auch die aktiven Störungen sehr häufig. Es konnten verschiedene Unterschiede der beiden Altersklassen erkannt werden, so gab es in der Kantonsschule keine Störung, die dem Bereich aggressive Störung zugeordnet werden konnte, während in der Primarschule einige aggressiv direkte Störungen vorkamen. Auch die Häufigkeit der nicht aggressiven passiven und aktiven Störungen unterscheiden sich bei den Altersstufen.
EinleitungDie richtigen Entscheidungen innert kürzester Zeit zu treffen ist eine der wichtigstenKomponenten im Fussball (Verheijen, 2016) (Serra-Olivares, Clemente, & Gonzales-Villora,2016). Je mehr Informationen von der Umgebung aufgenommen werden können, desto eherkann die richtige Entscheidung getroffen werden. Da die Augen meist dem Kopf folgen, sindKopfbewegungen gute Indikatoren für die visuelle Exploration (Fang, Nakashima, Matsumiya,Kuriki, & Shioiri, 2015). In einer Laborsituation wurde eine Studie durchgeführt, welche zeigte,dass die Anzahl Kopfbewegungen vor dem ersten Ballkontakt die Passqualität positivbeeinflusst (Mc Guckian, Chalkley, Code, Jordet, & Pepping, 2018). In der vorliegenden Arbeitgilt es zu überprüfen, ob diese Resultate auch in einem Wettkampfsetting übereinstimmen.Somit war das Ziel dieser Arbeit herauszufinden, ob die Häufigkeit der Kopfbewegung dervisuellen Exploration 3 Sekunden vor dem ersten Ballkontakt und während der Ballbearbeitung einen direkten Einfluss auf die Qualität (erfolgreich oder nicht) des Passes in einem Wettkampfspiel hat. MethodeFür die Untersuchung wurden Daten durch die Betrachtung zweier Wettbewerbsspiele vonNachwuchsfussballspielern der Kategorie FE-14 auf Video durch Observation der Spieler undihrer Aktionen erhoben. Die Daten von der Aktionsart, der Anzahl der Kopfbewegungen 3Sekunden vor dem ersten Ballkontakt, der Anzahl der Kopfbewegungen während derBallverarbeitung, der Ballverarbeitungsdauer, der Anzahl Ballkontakte, der Qualität vomanschliessenden Pass und der Position des Spielers wurden in verschiedenen Zonen erhobenund in einer Excel-Datei dokumentiert. Danach wurden diese dokumentierten Daten imDatenanalysenprogramm JASP mit dem Shapiro-Wilk Test auf die Normalverteilung sowie mitdem Mann-Whitney U Test statistisch überprüft. Um die Resultate visuell besser darzustellen,wurden für die deskriptive Statistik Verteilungsdiagramme zugezogen. ResultateDie Häufigkeit der Kopfbewegung der visuellen Exploration 3 Sekunden vor dem erstenBallkontakt und während der Ballverarbeitung haben keinen signifikanten Einfluss auf diePassqualität. Der Mann-Whitney U Test hat bei der Anzahl Kopfbewegungen 3 Sekunden vordem ersten Ballkontakt einen p-Wert von 0.915 und bei der Anzahl Kopfbewegungen während der Ballverarbeitung einen p-Wert von 0.535 ergeben. Es ist ein statistisch signifikanter Unterschied in der Anzahl Kopfbewegungen 3 Sekunden vor dem ersten Ballkontakt in der Zone 1 und 2 vorhanden. Der Mann-Whitney U Test hat einen p- Wert von 0.007 ergeben. Diskussion und KonklusionDie Hypothese, dass die Exploration vor dem ersten Ballkontakt und während der Ballverarbeitung einen Einfluss auf die Passqualität während eines Wettkampfspiels hat wird verworfen. Dies entspricht somit nicht den Ergebnissen aus der Laboruntersuchung von Mc Guckian (Mc Guckian, Chalkley, Code, Jordet, & Pepping, 2018). Dies könnte daran liegen, dass viele andere Faktoren wie die Komplexität einer zu lösenden Spielsituation einen starken Einfluss auf die Passqualität haben könnte. Somit wäre es interessant die Komplexität der zu lösenden Situation zu untersuchen. Ausserdem hat nicht nur die Entscheidungsfindung, sondern auch die technische Ausführung einen erheblichen Einfluss auf die Passqualität. Zum Beispiel könnte ein Spieler, der die richtige Entscheidung getroffen hat, den freien Mitspieler mit einem langen Pass anzuspielen, wegen einer mangelnden technischen Ausführung trotzdem ein Fehlpass spielen. Die technischen Mängel wurden für die Untersuchung nicht berücksichtigt. Bei einer nächsten Untersuchung könnte die technische Ausführung miteinbezogen werden, um ein aussagekräftigeres Resultat bezüglich Entscheidung und technischer Ausführung zu erhalten. Weiter wäre die Qualität der getroffenen Entscheidungen interessant zu untersuchen. Dafür bräuchte es jedoch eine höhere Qualität der Videos. Die Aussagekraft dieser Arbeit würde enorm an Qualität gewinnen, wenn Faktoren wie die technische Ausführung und die Komplexität der zu lösenden Spielsituation einfliessen würden.
Einleitung Selbstmitgefühl beschreibt eine unterstützende Selbsteinstellung, die eine gesundeBeziehung zu sich selbst darstellt. Es beinhaltet Selbstfreundlichkeit, Mitmenschlichkeit undAchtsamkeit in einem nicht urteilenden Rahmen (Neff 2003). Es gibt verschiedene physische,wie auch psychische Faktoren, welche das Verletzungsrisiko im Fussball beeinflussen.In dieser Arbeit werden die Zusammenhänge zwischen dem Selbstmitgefühl und derVerletzungshäufigkeit, dem Verletzungsgrad und der Verletzungsdauer untersucht. Methode Es wurde eine quantitative Querschnittsstudie in Form eines Fragebogensdurchgeführt. Hierbei wurden 86 Fussballer (100% Männer; MAlter = 24.52, SD = 4.34,Altersbereich = 17 bis 37 Jahre) befragt, welche einem Kader der 2. Liga Interregio oder 1.Liga angehören. Dabei wurde mit der Kurzform der Selfcompassion-Scala in Deutsch dasSelbstmitgefühl ermittelt und weitere Fragen bezüglich der Verletzungen gestellt. Resultat Es gibt keinen Zusammengang zwischen dem Selbstmitgefühl und derVerletzungshäufigkeit (p = .15), dem Verletzungsschweregrad (leichte Verletzungen, p = .23),(schwere Verletzungen, p = .18) und der Verletzungsdauer (p = .55). Zudem gibt es keinensignifikanten Unterschied beim Selbstmitgefühl zwischen Spielern, die in den letzten zweiJahren verletzt waren (n = 53), und solchen, die nicht verletzt waren (n = 33, p = .80). Spieler,welche ein höheres Selbstmitgefühl haben, können besser mit einer Verletzung umgehen (p =< .001). Diskussion Da in den letzten zwei Jahren die Saisons im Amateurfussball wegen COVID-19nicht wie üblich durchgeführt werden konnten, sind die Resultate mit Vorsicht zu werten. DieResultate zeigen, dass das Selbstmitgefühl keinen Einfluss hat, ob sich ein Spieler mehr oderweniger verletzt. Die Korrelation zwischen dem Selbstmitgefühl und dem Umgang mitVerletzungen lässt jedoch darauf schliessen, dass das Selbstmitgefühl einen positiven Einflussauf den Umgang mit der Verletzung hat. Konklusion Keine der formulierten Hypothesen wurde bestätigt. Die positive Korrelation desSelbstmitgefühls mit dem Umgang mit Verletzungen lässt weitere Untersuchungen in dieseRichtung zu. Falls zukünftige Studien beweisen, dass das Selbstmitgefühl einen positivenEinfluss auf den Heilungsprozess hat, könnte man dies bewusst in die Rehabilitation einesSpielers einbauen und Interventionsprogramme ausarbeiten.
Einleitung Sportevents üben auf grosse Teile der Weltbevölkerung eine hohe Anziehungskraft aus. Dabei versuchen Veranstalter durch abwechslungsreiche Rahmenprogramm-Massnahmen mehr Zuschauer für einen Event zu aktivieren. Die United States of America (USA) scheinen hierbei in Bezug auf die Eventisierung und Kommerzialisierung eine Vorreiterrolle gegenüber Europa zu haben. Ziel und Fragestellung Ziel der Untersuchung ist es, anhand einer vergleichenden Analyse, Unterschiede zwischen dem amerikanischen Super Bowl (SB) LIV und dem europäischen UEFA Champions League Finale (UCLF) 2019 in Bezug auf das Rahmenprogramm während des Spiels festzustellen. Methode Nach erfolgter Literaturrecherche wurden vier Videos zu den Veranstaltungen mittels einer qualitativen Inhaltsanalyse nach Philipp Mayring untersucht und ausgewertet. Die Kategorien des Kodierleitfadens wurden induktiv gebildet. Resultate Anhand der identifizierten Kategorien in Bezug auf das Rahmenprogramm während des Spiels, wurde festgestellt, dass der amerikanische SB LIV in allen Kategorien ausser der „Trainer- und Spielervorbereitung“ dem europäischen UCLF 2019 hinsichtlich der Anzahl, Dauer und Vielfalt überlegen war. Diskussion und Konklusion Die Ergebnisse der Untersuchung können Grossveranstaltern Hinweise bieten, in welchen Kategorien man sich noch entwickeln kann. Die Ergebnisse dieser Studie deuten auf das Potential der fokussierten und differenzierten Betrachtung des Rahmenprogramms bei grossen Sportevents hin und verweisen auf die Notwendigkeit einer grösseren Stichprobe bei den Untersuchungen.
Einleitung Über das Sportverhalten von Jugendlichen und jungen Erwachsenen in der Schweiz gibt es bereits viele Untersuchungen. Genauso gibt es auch viele Untersuchungen über die Auswirkungen des Geschlechts und des Migrationshintergrunds auf das Sportverhalten. Nach einer vertieften Literaturrecherche wurde festgestellt, dass über das Sportverhalten von Berufsschülerinnen und Berufsschülern mit einer Kaufmännischen Ausrichtung kaum Wissen vorhanden ist. Zielsetzung Das Hauptziel dieser Arbeit war es, mögliche Abweichungen oder Übereinstimmungen zwischen den 15-24-jährigen Lernenden der Handelsschule KV Basel (KV Lernende) und der gleich oder ähnlich jungen Schweizer Gesamtbevölkerung (junge Gesamtbevölkerung), in Bezug auf das Sportverhalten und den Sportinteressen, zu untersuchen. Ein weiteres Ziel dieser Arbeit war es festzustellen, welche Rolle das Geschlecht und der Migrationshintergrund der KV Lernenden auf die Sportaktivität und die Sportinteressen haben. Methode Um die Fragestellung beantworten zu können, wurde mit 430 KV Lernenden des ersten und zweiten Lehrjahrs eine Onlineumfrage durchgeführt. Total haben 29 Klassen an der Umfrage teilgenommen. Die Umfrage bestand aus 29 Fragen. Die meisten Fragen wurden direkt aus dem Fragekatalog, die für die Studie Sport Schweiz 2020 (Lamprecht et al., 2020) entwickelt wurden, übernommen. Vier Sportlehrer haben sich bereit erklärt 10 Minuten ihrer Unterrichtszeit für die Onlineumfrage zur Verfügung zu stellen. Während der Umfrage durften keine Fragen beantwortet werden Resultate Bei den KV Lernenden gibt es deutlich weniger sehr aktive Personen als bei der jungen Gesamtbevölkerung. Dafür sind KV Lernenden seltener inaktiv als die junge Gesamtbevölkerung. Die männlichen KV Lernenden und die KV Lernenden ohne einen Migrationshintergrund treiben signifikant häufiger Sport als die weiblichen KV Lernenden und die KV Lernenden mit einem Migrationshintergrund. Die Sportarten mit den meisten aktiven Personen sind sowohl bei den KV Lernenden als auch bei der jungen Gesamtbevölkerung Schwimmen, Jogging, Laufen, Radfahren (ohne Mountainbike) und Skifahren (ohne Skitouren). Allerdings nicht in der gleichen Reihenfolge. Bei der jungen Gesamtbevölkerung ist das Skifahren weiter oben. Zudem fährt sie deutlich lieber Snowboard und Mountainbike. Dafür treiben die KV Lernenden deutlich öfters das Krafttraining. Die Sportarten Kampfsport, Selbstverteidigung und das Fitnesstraining sind die Sportarten die sowohl von den KV Lernenden als auch von der jungen Gesamtbevölkerung zukünftig vermehrt oder neu betrieben werden möchten. Diskussion und Konklusion Diese gewonnenen Erkenntnisse zeigen die Eigenheiten und Charakteristika der sportlichen Aktivitäten von Berufsschülern mit einer kaufmännischen Ausrichtung und können so bei der Planung des Unterrichts behilflich sein. Vor allem die Erkenntnis über die Sportarten, die die KV Lernenden zukünftig vermehrt oder neu betreiben möchten, kann den Sportlehrerinnen und Sportlehrern helfen, die Motivation der KV Lernenden im Unterricht zu erhöhen.
EinleitungIm Brazilian Jiu-Jitsu (BJJ) gibt es noch wenig wissenschaftliche Forschung. Das Wachstum der Sportart weltweit fordert Erklärungen und Konzepte. Die Studie fokussiert sich auf die erfolgreichste Hebel- oder Würgetechnik und deren Erfolgsgründe sowie Trainingsempfehlungen. MethodeDie Ergebnisse von 444 Schwarzgurt-Kämpfen verschiedener Gewichtsklassen der International Brazilian Jiu-Jitsu Federation (IBJJF) wurden ausgewertet. Für die qualitativen Interviews wurde ein Leitfaden anhand der Resultate erstellt. Das strukturierte Interview konfrontierte drei Experten verschiedener Gurtstufen mit den Ergebnissen. Der Fragebogen enthielt Fragen zu den Erfolgsgründen und Trainingsableitungen der erkorenen Technik. Resultate173 Kämpfe gewannen die Teilnehmerinnen und Teilnehmer nach Punkten. Bei 36 Kämpfen war «choke from the back» und bei 30 Kämpfen «armbar» die gewinnbringende Technik. Die restlichen Kämpfe wurden entweder durch den Entscheid des Schiedsrichters oder andere Techniken gewonnen.Als Erfolgsgründe nannten Experten vor allem die vorteilhafte Position beim «choke from the back» und die Verfügbarkeit aus allen Lagen beim «armbar». Die mit 86 Kodierungen meist genannte Kategorie war die «Voraussetzungen und Training der konditionellen Faktoren». Alle Befragten trainieren explizit Griffkraft in ihrem Trainingsalltag. DiskussionObwohl Punktesiege an BJJ-Turnieren von Trägern des schwarzen Gürtels am häufigsten sind, werden in der Praxis gezielt Aufgabetechniken trainiert. Die erfolgreichste Hebeltechnik ist «armbar». Diese Technik wird bereits früh unterrichtet. In vielen Trainingsstätten wird jedoch ohne Konzept trainiert. Künftig sollten BJJ-Trainerinnen und Trainer anhand einer einheitlichen Ausbildung wie zum Beispiel dem Jugend und Sport-Programm (J+S) Wissen zur Trainingsgestaltung und -planung erhalten. Dazu gehört unter anderem auch der Einbezug eines Jahreszyklus. Die Planung sollte Überlegungen zu den konditionellen, technischen, strategischen und taktischen Faktoren beinhalten. Griffkrafttraining muss in Zukunft integrierter Trainingsbestandteil sein und gilt gemäss Andreato et. al (2013) als entscheidender Faktor. Technisches Training soll sich am Modell von Bernstein (1969) «freezing-releasing-exploiting» orientieren. Weitere Studien mit einer spezifischeren Stichprobe derselben Gewichtsklasse werden nötig sein, um die Validität der Resultate zu überprüfen.
In der Sportwelt wird laufend versucht möglichst viele Daten und Variablen für das Trainingsmonitoring der Athletinnen und Athleten zu erfassen. Die Herzfrequenz gilt dabei als ein Parameter, welcher im Training und Wettkampf einfach zu erfassen ist. Neben der Herzfrequenzerholung (HRR) wird die Ruheherzfrequenz und die Herzfrequenzvariabilität als Messinstrument eingesetzt, um die Beanspruchung im Training, sowie den Erholungszustand der Athletinnen und Athleten zu beurteilen. Eine schnelle Abnahme der Herzfrequenz nach Beendigung einer Belastung wird mit einem guten Fitnesstand in Verbindung gebracht, was sich sowohl bei Ausdauer- wie bei Kraftsportlern1 abhängig vom Trainingsstand zeigt (Otsuki et al., 2007; Pluim, Zwinderman, van der Laarse, & van der Wall, 2000). Die Studie wurde nur mit männlichen Probanden durchgeführt. Der Nutzen der HRR hinsichtlich der Differenzierung der Leistungsfähigkeit bei Leistungssportlerinnen und Leistungssportlern scheint nicht abschliessend geklärt. Das Ziel dieser Untersuchung ist es, den Zusammenhang zwischen der HRR und der Laktatstufentestleistung im Skilanglauf und Biathlon zu bestimmen. Gleichzeitig sollen potenzielle disziplinenspezifische (Skilanglauf versus Biathlon) und saisonale (Frühling 2020 versus Herbst 2020) Differenzen identifiziert werden. Daraus wurden drei konkrete Fragestellungen betreffend Reliabilität aufgestellt. 1) Wie reliabel ist die 60-s post-Test Herzfrequenzerholung (HRR60s) und die maximale Herzfrequenz (HRpeak) bei einem maximalen Laktatstufentest (LST) bei trainierten Skilanglauf- und Biathlon-Athletinnen und -Athleten? 2) Wie verhält sich die HRR60s des LST saisonal (Frühling 2020 versus Herbst 2020) und sportartspezifisch (Skilanglauf versus Biathlon) bedingt? 3) Welcher Zusammenhang besteht zwischen der HRR60s und der Abbruchstufe beim LST? Um diesen Fragestellungen nachzugehen, teilte ich die Probandinnen und Probanden in folgende drei Untersuchungsgruppen ein: 1. Untersuchungsgruppe Reliabilität (n = 26) 2. Untersuchungsgruppe Saisonvariation (n = 38) 3. Untersuchungsgruppe Zusammenhang (n = 81) Alle Probandinnen und Probanden absolvierten einen Laktatstufentest mit Rollskis auf einem Laufband, mit kontinuierlicher Aufzeichnung der Herzfrequenz. Die HRR60s wurde dabei definiert als absolute Differenz zwischen der durchschnittlichen Herzfrequenz, die während den letzten fünf Sekunden auf der Abbruchstufe des LST aufgezeichnet wurden (HRpeak) (Mourot et al., 2015), und der durchschnittlichen Herzfrequenz, die während den letzten 15 Sekunden der darauffolgenden 60 Sekunden Erholungsphase ermittelt wurden (Lamberts & Lambert, 2009; Lamberts, Lemmink, Durandt, & Lambert, 2004; Lamberts, Swart, Noakes, & Lambert, 2009). Für die Reliabilität wurden Variationskoeffizienten gerechnet. Die saisonalen Differenzen wurden mittels gepaarten und die disziplinenspezifischen Differenzen mittels ungepaarten T-Tests analysiert. Die HRpeak zeigte im Vergleich zur HRR60s eine höhere Reproduzierbarkeit (CV =, 1.2% und 17.8%). Es konnte kein signifikanter saisonal bedingter Unterschied festgestellt werden (p = 0.672). Auch bei dem gemachten Vergleich der Sportarten Biathlon und Skilanglauf zeigten die Resultate keinen signifikanten Unterschied (p = 0.294). Weiter konnte kein Zusammenhang zwischen der Abbruchstufe beim Laktatstufentest und den HRR60s Werten beobachtet werden (r = -0.025). Die HRpeak Werte sind im Vergleich zu den HRR60s Werten reliabler und eignen sich daher besser als physiologischer Kennwert zur Beurteilung der Beanspruchung. Allgemein konnte in dieser Arbeit gezeigt werden, dass HRR60s nach einem LST eine schlechte Reproduzierbarkeit aufweist und entsprechend im Belastungsmonitoring etablierte, objektive und subjektive Parameter nicht ersetzen kann. Der Protokollablauf nach Testabbruch muss standardisiert werden, um die Messvarianz von der HRR60s zu verringern und potenzielle Einsatzgebiete im Belastungsmonitoring und der Leistungsdiagnostik zu erkunden.
EinleitungDie Integration und Inklusion von Menschen mit einer Behinderung in die Gesellschaft ist einekomplexe Angelegenheit, welche von mehreren individuellen und organisatorischenBedingungen abhängt, die manchmal widersprüchlich zu sein scheinen. Im Sport gibt es bereits Organisationen wie zum Beispiel PluSport, Special Olympics und weitere, welche den Behindertensport unterstützen. Ziel und konkrete FragestellungDas Ziel der Arbeit ist, aufzuzeigen, was für Möglichkeiten und Barrieren es bei der Inklusion von Menschen mit einer Behinderung im Turnverein aus Sicht der Vereinspräsidentinnen und -präsidenten gibt. Daher die Fragestellungen:a) Was für Möglichkeiten gibt es aus der Perspektive der Vereinspräsidentinnen und -präsidenten, um eine Inklusion von Menschen mit einer Behinderung in Turnvereinen zurealisieren?b) Was für Barrieren gibt es im Turnverein aus Sicht der Präsidenten bei der Inklusion vonMenschen mit einer Behinderung? MethodeEs wurden fünf Vereinspräsidentinnen und -präsidenten interviewt mit Hilfe eineshalbstrukturierten Interviewleitfadens. Die Interviews wurden persönlich oder über zoom.usgeführt und jeweils mit dem Mobiltelefon oder über zoom.us aufgezeichnet. Sie wurdentranskribiert und die Aussagen in Form von Tabellen ausgewertet. Die Interviews haben vieleverschiedene Möglichkeiten und Barrieren aufgezeigt. Die Aufteilung der Möglichkeiten undBarrieren wurde wie folgt vorgenommen: Formell, personell, körperlich, psychosozial, mentalund finanziell. Bei den Barrieren gab es noch einen zusätzlichen Bereich, welcher diestrukturellen Barrieren behandelte. Die Tabellen beinhalteten: Kernkategorie, Subkategorie,Schlüsselwort, Textsegment und Anzahl. So konnten die Antworten übersichtlich dargestelltwerden. ResultateEs wurde herausgefunden, dass sich die Vereine in vielen Punkten bezüglich Möglichkeitenund Barrieren einig waren. Die Vereine waren mehrheitlich offen für eine Inklusion, dochzeigten sie es gegen aussen zu wenig oder gar nicht. Die Befragten hatten gute Ideen, um eine Inklusion zu ermöglichen, z.B. indem man eine neue Riege gründen oder mit verschiedenen Projekten eine Inklusion fördern könnte. Sofern die Projekte zeitlich limitiert sind, sahen einige Vereinspräsidentinnen und -präsidenten eine grössere Chance für eine Inklusion. Die Möglichkeit, diese in eine bestehende Riege einzubetten, wurde auch von einigen genannt, da eine separate Riege für einige Vereine sehr aufwändig wäre. Finanziell sehen alle Vereine keine Barrieren, infrastrukturell und mental sind jedoch solche vorhanden, die sich aber mit den richtigen Lösungsansätzen minimieren lassen. DiskussionDie Vereine hatten unterschiedliche, aber auch gemeinsame Meinungen zum Thema Inklusionin den Turnvereinen. Alle befragten Vereine waren offen für eine Inklusion, hatten sich aberbis anhin noch nie damit befasst. Die grössten Barrieren waren im personellen Bereichbezüglich Betreuungsaufwand, Anzahl Leiter (je nach Turnverein) und fehlender Erfahrung der Leiter zu sehen. Die Dauer der Inklusion wurde auch oft als kritischer Punkt genannt. Da auchnach Ratschlägen gefragt wurde, konnte man daraus schliessen, dass die Vereine gegenüber einer Inklusion positiv eingestellt waren und es auch für andere Vereine ratsam ist, sich zu öffnen, falls dies nicht bereits geschehen ist. KonklusionDie Arbeit zeigt auf, dass es aus der Sicht der Präsidentinnen und Präsidenten der befragtenTurnvereine viele Möglichkeiten sowie auch Barrieren gibt bezüglich einer Inklusion vonMenschen mit Behinderungen in den Turnvereinen. Anhand er Möglichkeiten und Barrierenkönnte man in einem weiteren Schritt Leitfäden mit Lösungsansätzen erstellen, um so denVereinen eine Inklusion zu vereinfachen.
EinleitungUm im Kunstturnen der Frauen schwierige akrobatische Elemente an den Geräten Pferdsprung, Balken und Boden turnen zu können, ist eine ausreichende Flughöhe entscheidend. Um diese zu erreichen, wird die im Anlauf generierte kinetische Energie beim Absprung in Translations- und Rotationsenergie umgewandelt. Der Zusammenhang zwischen der Flug- /Treibhöhe und der Explosivkraft wurde bereits untersucht, jedoch ist die Studienlage im Kunstturnen der Frauen noch lückenhaft. Das Ziel dieser Untersuchung ist es, den Zusammenhang zwischen der Flug- /Treibhöhe ausgewählter Elemente am Pferdsprung, Balken und Boden und den Explosiv- /Reaktivkraftparametern der unteren Extremitäten bei Nachwuchskunstturnerinnen zu untersuchen. Methode10 Kunstturnerinnen im Alter von 8 bis 15 Jahren (Alter: 11.10 Jahre ± 2.13 Jahre, Grösse:142.30 cm ± 11.02 cm, Gewicht 36.40 kg ± 7.98 kg) nahmen an der Untersuchung teil. AlleAthletinnen wurden in drei Gruppen aufgeteilt, welche im Wechsel zwischen drei Geräten (Kraftmessplatte, Boden, Balken) rotierten. Mit der Kraftmessplatte wurden Explosiv- und Reaktivkraftparameter mittels Countermovment Jump (CMJ), Squat Jump (SJ), einbeinigen CMJ und Drop Jumps (DJ) erhoben. Am Boden turnten die Athletinnen einen Salto vorwärts (vw) gehockt und einen Salto rückwärts (rw) gestreckt. Am Balken turnten die Athletinnen einen Salto vw als Abgang. Im Anschluss turnten die Athletinnen am Pferdsprung einen Überschlag vw und einen Tsukahara-Ansatz (Tsukahara ohne Salto rw). Alle Elemente wurden maximal hoch geturnt. Die maximale Flug- /Treibhöhe wurde durch eine Videoanalyse bestimmt. Mittelwerte, Standardabweichung sowie Korrelationen nach Pearson (p < 0.05) wurden zwischen allen Parametern berechnet. Die Korrelationen wurden nach Hopkins (2002) beurteilt. ResultateDie Resultate zeigten, dass generell höhere signifikante Zusammenhänge zwischen den gemessen Flug- /Treibhöhen der einzelnen Elemente und der Reaktivkraft (r: zwischen 0.72 und 0.91) als der Explosivkraft (r: zwischen 0.67 und 0.94) bestehen (Ausnahme: Salto rw am Boden). Zusammenfassung Die signifikanten Resultate am Pferdsprung und Balken zeigten, dass die Reaktivkraft (r: zwischen 0.88 und 0.91) höher mit der Flug- /Treibhöhe korreliert, als die Explosivkraft (r: zwischen 0.67 und 0.87). Die signifikanten Resultate am Boden zeigten, dass die Explosivkraft beim Salto rw (r: zwischen 0.80 und 0.94) höher mit der Treibhöhe korreliert, als beim Salto vw (einbeiniger CMJ: r = 0.75; CMJ und SJ waren nicht signifikant). Die Parameter der Reaktivkraft (r: zwischen 0.72 und 0.86) zeigten, dass diese mit dem Salto vw und rw sehr gross korrelieren. DiskussionDie höhere Bedeutung der Reaktivkraft am Pferdsprung kann auf den reaktiven Absprung auf dem Sprungbrett zurückgeführt werden. Die höhere Bedeutung der Reaktivkraft am Balken könnte durch den harten Untergrund des Balkens erklärt werden, wobei ein harter Untergrund zu einer kurzen Bodenkontaktzeit führt. Die Resultate am Boden zeigen, dass die Reaktivkraft beim Vorwärtsabsprung eine höhere Bedeutung hat als die Explosivkraft. Der hohe Einfluss der Explosivkraft beim Rückwärtsabsprung wird durch eine längere Bodenkontaktzeit erklärt. KonkulsionDie Resultate lassen vermuten, dass ein gezieltes Training der Reaktivkraft zur Verbesserung der Flug- /Treibhöhen von einzelnen Elementen an den Geräten Pferdsprung, Balken und Boden beitragen kann, sofern das erarbeitete Reaktivkraftpotential technisch umgesetzt werden kann. Die Bedeutung der Explosivkraft ist insbesondere wichtig, um die notwendige kinetische Energie im Anlauf am Pferdsprung und Boden zu erzeugen.
Einleitung Im Schweizer Kindereishockey werden Wettkämpfe bis zum Alter von 10 Jahrenausschliesslich über 1/3 des Eisfeldes ausgetragen. Ab dem elften Lebensjahr, wenn die Kinderin die Stufe U13 übergehen, werden sämtliche Ligaspiele wie bei den Erwachsenen über diegesamte Eisfläche gespielt. Der Übergang vom Klein- zum Grossfeld bedeutet für die Kindereine grosse Umstellung. Um diesen abrupten Übergang etwas zu entschärfen, haben sichExperten aus der Praxis für die Längshalbierung des Eisfeldes auf 15 x 60 Meter ausgesprochen. Der Schweizer Eishockeyverband SIHF überlegt sich nun diese Spielfelddimension in die reguläre Meisterschaft einzubauen. Nun stellt sich die Frage, ob sich das Spielformat 3 gegen 3 oder 4 gegen 4 besser eignet. Das Ziel dieser Arbeit besteht darin, die zwei Spielformate auf mögliche Unterschiede zu untersuchen. Methode Es wurden 31 Spielbeobachtungen der Altersstufe U13 (Alter 11 und 12 Jahre) ausdrei unterschiedlichen Leistungsklassen (U13 A; U13 Top; U13 Elit) herangezogen. Anhandvon Videoaufnahmen wurden die Spiele auf vordefinierte technische und taktische Variablengeprüft und ausgewertet. Mittelwerte und Standardabweichungen aller Variablen in beidenSpielsystemen wurden anhand des Mann Whitney U – Tests auf Ihre Signifikanz (p < 0.05)getestet. Um die Unterschiede zwischen der Leistungsklassen zu untersuchen, wurde beinormalverteilten Daten eine einfaktorielle Varianzanalyse ANOVA und bei nichtnormalverteilten Daten den Kruskal Wallis - Test herbeigezogen. Um weitere Unterschiedeinnerhalb der Stufen zwischen den Leistungsklassen zu suchen, wurde ein post-hoc Testdurchgeführt. Die Effektstärken der Tests wurden nach Cohen (1988, 1992) berechnet.Resultate. Die Resultate zeigten signifikante Unterschiede zwischen den technischenVariablen Tore, Schussversuche, Schüsse aufs Tor und angekommene Pässe sowie dentaktischen Variablen Körperkontakte, Alleingänge, Überquerungen der blauen Linie undunkontrolliertes wegschlagen des Pucks auf. Innerhalb und zwischen den Leistungsstufenhaben sich die abgegebenen Pässe voneinander unterschieden. Eine höhere Erfolgsrate derangekommenen Pässe von 6.44% konnte ebenfalls nachgewiesen werden. Diskussion und Konklusion Die Resultate deuten darauf hin, dass Unterschiede der Spieleraktivitäten auf die Anzahl der Spieler auf dem Eisfeld zurückzuführen sind. Die höheren Spieleraktivitäten beim Spielformat 3-3 könnten zu größerem Engagement und Freude führen und den Lernprozess der technischen Fertigkeiten unterstützen. Beim 4-4 sind die Anforderungen an die technischen und taktischen Fertigkeiten höher, somit wird das taktische Positions- und Zusammenspiel gefördert. Es ist zu beachten, dass die Resultate keine Richtwerte für individuelle Spielerleistungen sind, sondern lediglich dem SIHF als Hilfestellung bei der Wahl des Spielformats dienen.
Die Anforderungen betreffend der neuromuskulären Leistungsfähigkeit im Fussball sind überdie letzten Jahre gestiegen und sind für den Erfolg im Wettkampf mitentscheidend. Ziel dieserStudie war es den Zusammenhang der neuromuskulären Leistungsindikatoren sowie deren Einfluss auf die lineare und multidirektionale Sprintgeschwindigkeit zu analysieren. Weiter wurde untersucht, ob zwischen den Spielpositionen betreffend den Ausprägungen der neuromuskulären Leistungsfähigkeit Unterschiede zu erkennen sind. Insgesamt wurden 48 Nachwuchsfussballspieler aus drei Schweizer Fussballvereinen auf Elite-Stufe U21 untersucht. Die Probanden absolvierten einen isometrischen Maximalkrafttest, zwei dynamische Explosivkrafttests (Counter Movement Jumps mit und ohne Zusatzlast), ein Reaktivkrafttest (Drop Jump), einen linearen Sprint über 40 Meter und einen multidirektionalen Sprint. Für die beidbeinigen relativierten Maximalkraftwerte konnten in dieser Testung keine Zusammenhänge mit den übrigen neuromuskulären Leistungsindikatoren beschrieben werden. Für die einbeinigen relativierten Maximalkraftwerte konnten lediglich mit der beidbeinigen Explosivkraft ohne Zusatzlast (CMJ Pmax rel; r = .33, p < .01) und der beidbeinigen Explosivkraft mit Zusatzlast (CMJL Pmax rel; r = .29, p < .01) Zusammenhänge notiert werden. Zwischen der beidbeinigen wie auch einbeinigen Explosivkraft und dem RKI1 wird in der vorliegenden Arbeit je ein mittelstarker Zusammenhang ausgewiesen (r = .40; .44, p < .01). In Bezug auf die Sprintleistung fielen die Zusammenhänge zwischen den beidbeinigen Explosivkraftwerten und der linearen Sprintgeschwindigkeit über 10 Meter (r = – .59, p < .01) und über 40 Meter (r = – .589, p < .01) am grössten aus. Für die einbeinigen Maximalkraftwerte und der Sprintzeit über 40 Meter konnte ein schwacher Zusammenhang notiert werden (r = – .31, p < .05). Betreffend der Reaktivkraft RKI1 wurden lediglich mit der Sprintzeit über 10 Meter signifikante Daten ausgewiesen (r = – .37, p < .01). Zwischen der multidirektionalen Sprintgeschwindigkeit und sämtlichen neuromuskulären Leistungsindikatoren konnten keine signifikanten Zusammenhänge beschrieben werden. Betreffend den Spielpositionen weisen die neuromuskulären Indikatoren keine signifikanten Unterschiede untereinander auf. Bezogen auf die unterschiedlichen Sprintzeiten scheinen lediglich die Aussenmittelfeldspieler im Vergleich mit den Mittelfeldspielern über die Sprintdistanz von 40 Metern signifikant schneller zu sein. Die Resultate zeigten, dass die neuromuskulären Leistungsindikatoren ganzheitlich betrachtet und gezielt gefördert werden sollten. Gemäss der Regressionsanalyse könnte mit dem Maximalkrafttraining die grössten Effekte über alle Sprintdistanzen erzielt werden. Weiter wäre das Training der Explosivkraft einem Training der Reaktivkraft vorzuziehen. Weitere Untersuchungen betreffend den Beschleunigungsprofilen und der maximalen Geschwindigkeit der einzelnen Positionen könnte interessante Erkenntnisse liefern. So könnten die Trainingsinhalte wie auch die Regenerationsmassnahmen individuell und positionensspezifisch angepasst werden, was in einer Verbesserung der Wettkampfleistung resultieren würde.